Tournée générale

Rappel du premier message :

Faite péter la binouze

Debout tout le monde !
C'est l'heure du petit déjeuner et d'aller bosser !
Allons, motivons-nous !

Coucou, mes nounours !
J'espère que vous allez tou(te)s bien !
J'en profite pour souhaiter une heureuse rentrée aux étudiant(e)s parmi vous !
Bon courage et n'oubliez pas de cartonner !
Aux autres, comme chaque jour, bon courage avec le boulot.
Je vous fait de tendres câlins et je vous envoie des bisous aussi infinis que le nombre d'étoiles dans l'espace.
Prenez soin de vous ou je viendrai sinon ! (ça, c'est de la menace ).
Fuyez, pauvres fous/folles !
Mais non, restez avec moi, enfin, si vous voulez et si vous m'aimez.

Coucou, les nounours !
C'est l'heure du petit déjeuner, faites votre choix, français, anglais ou américain le petit déj ? Quoi qu'il en soit, tout y est.
Sinon comment allez-vous ? Encore plus qu'hier j'espère ? il y a intérêt !
Comme toujours, on se motive et on s'en va pour cartonner toute la journée ! Et à côté, prenez soin de vous ou je vais vous secouez !
On ne se laisse pas aller et on ne fait pas de bêtises sinon...  
Je vous fait quand même de tendres câlins et des bisous. Parce que vous n'êtes qu'une bande de méchants, si j'attends après vous pour en avoir, je peux crever. Tss...  

J'espère que vous aurez comme toujours reconnue cette réplique culte !
Revenez, revenez !
Si c'est les anciens qui passent encore par ici, vous savez que je vous aime mes nounours et que vous restez les bienvenu(e)s.
Oui, je sais, je n'ai pas trouvé plus con comme surnom.
Si c'est une autre alliance, soyez les (re)bienvenu(e)s.
Oui, je flood, je suis en solitaire et je ne bougerais pas d'ici !
Puis je m'en fous !  
Si vous revenez pour Vuctire, Deimos ou les deux, je crois qu'ils sont partis vivre leur grande histoire d'amour, qu'ils sont heureux et qu'ils ont beaucoup d'enfants comme le veut chaque conte de fées.  

Des bisous, le peuple !

Démerdez-vous pour votre déjeuner, les câlins et les bisous.
Je ne suis pas votre bonniche, bordel.
Fuyez pauvres fous !

Bonjour ou bonsoir, tout dépend de l’heure à laquelle vous lisez ceci.
Comment ça, j’ai été désagréable ? Mais pas du tout !
Il ne faut pas voir le mal partout !
Puis vous secouez un peu, ça ne vous fait pas de mal, les nounours.
Ok, l’autre jour je n’ai pas apporté le petit déjeuner, je n’ai pas fait de câlins, ni de bisous et alors ?
C’est bon, vous n’allez pas dramatiser.
Est-ce que je me plains moi, du fait qu’il y a une bande de méchant(e)s qui se cachent dans les invité(e)s, qui sont mauvais(e)s à cache-cache, qui s’autorisent à me lire en plus, qui ne viennent même plus faire un coucou et boire un coup ? Non. Je fais en revanche ce que je sais faire en tant que femme, je m’approprie tous les lieux.
Je mets même un peu de rose par-ci et par là.
Je rends ça gaie et féminin. Ah si vous saviez les conneries que je fais sur les planètes privées accessibles qu'aux membres.
Je transforme chaque planète du coin en un territoire appartenant aux femmes.
Au point que vous deviendrez tous des princes charmants à vous en faire chier des arcs-en-ciel pour un temps indéterminé. Fuyez pauvres fous !

PS: Sinon des pavés seront publié aujourd'hui ou dans les jours à venir pour ceux qui aiment perdre leur temps à lire mes conneries. Patience.
Merci à ceux qui sont d'une certaine façon encore là après tout ce temps. Même si je ne suis même pas sûre que c'est vous mais bon...
Je bois à votre santé.  
Un déj, des câlins et des bisous…

Deimos arrête de te cacher, de bouder, il faut qu'on se parle et très sérieusement. Enfin après tu fais ce que tu veux hein.

Bonjour, bonsoir à ceux qui lisent.
J'espère que vous allez bien ?
Navrée, ce post qui suit est pour une personne qui est spéciale pour moi.
Alors vous pouvez vous contenter de boire.   
Des câlins & bisous tout le monde.


Pas besoin d'un pavé pour te dire je t'aime, ma Elfe à moi !

Note pour moi-même :
Ne plus traîner en lingerie dans sa chambre avec les fenêtres grandes ouvertes. Ne plus oublier que la cour d'en face est souvent fréquentée depuis la rentrée. Se rappeller aussi que les collégiens internes ont une récréation le soir et ne pas négliger le fait qu'ils ont le sens de l'observation.
Et qu'une lumière allumée n'aide pas non plus à être discrète. Afin d'éviter à l'avenir de provoquer chez eux des sifflements, des mots aussi doux que "oooh ! La fille là !" "hé on t'as vu !", "à poiiiil !" ou "j'te péte ton cul !".

J'étais jeune, inoffensive et innocente. Je suis traumatisée. Je n'ose plus ouvrir mes volets et j'ai peur des collégiens.

Je te souhaite un très joyeux anniversaire, femme de ma vie.
Je bois à ta santé. Fêtes bien ça mon elfe. Pas de pavé car tu sais déjà tout.
Je t'aime.

Coucou...
J'espère que vous allez bien ? 


Des bisous !

Et si les ancien(ne)s membres lisaient ça, n'oubliez pas que vous étiez géniaux !

Un coucou et un bisou aux nounours qui passent...

*Est encore vivante*
*Fuyez, pauvres fous !*
*Vive Avatar*
*Je trinque*
*Et... Vous n'avez rien de mieux faire ? :x*

Il n y a pas de survivant(e)s ici.
Il n y a que moi.

_ Vous êtes bien crédules, mes tendres ! Leur lançai-je.
Mais il est vrai qu’il n y a pas d’autres survivants que moi ici,
Ajoutai-je presque pas dépitée, probablement parce que je m’étais habituée à la solitude et explicitement à quelques bouteilles de Scotch. J‘ai essayé de noyer ce chagrin que l’isolement me procure dans l‘alcool, il est bien malin et bien taquin puisque celui-ci a appris à nager.
Cela dit, dans cette situation, il m’est bien pratique d’être schizophrène, Continuai-je.
Il fut une époque où il m‘a semblé que vous appréciiez lire mes pavés et où vous m‘aimiez.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin, je suppose. Peut-être que je me trompe et qu'une part de vous m'aime encore qui sait.
Affirmai-je aux anciens membres dont j‘arrivais encore à voir les silhouettes.
Ce qui n‘était pas logique, étant donné qu‘ils avaient disparu depuis bien des siècles maintenant.
Comment pourrais-je récupérer des gens qui n‘éprouvent pas ou plus le besoin d‘être à mes côtés ?
Comment pourrais-je leur montrer le meilleur de moi-même alors que certains d‘entre eux ne se montreraient plus jamais clément avec moi ?
Est-ce que leur montrer qui je suis vraiment, leur dire du plus profond de mon cœur que je regrette vraiment toutes mes erreurs, leur présence, leur voix, leur visage, leur sourire, leurs bras qui m‘enlaçaient amicalement les feraient-ils revenir ?
Sont-ils maintenant mes ennemis prêts à oublier notre passé commun, prêts à oublier qu’un jour ils m’ont aimé et prêts à m‘achever sans le moindre regret ?
Dois-je attendre que les ennemis envahissent cette cité déserte ?
Pourquoi fuirais-je ?
Où pourrais-je aller ?
Je n'ai nulle part où aller. Je ne veux pas dormir ailleurs. Je ne veux pas vivre ailleurs.
Je ne partirais pas. Je ne quitterais pas cet endroit.
J'ai saisi mon épée, j'attends l'ennemi, le cœur battant et tapant de toutes ses forces contre ma poitrine.
Je peux toujours espérer qu'une ou plusieurs personnes aux bonnes intentions se joignent à moi.
Je peux croire en la théorie que les ennemis ne profiteront pas pour envahir la cité.
J'étais là quand la cité fut désertée et je serai là si elle se fait conquérir.
Je saisirai mon épée une dernière fois, prête à défendre cette cité que j'aurais tant affectionné.
Je les provoquerai, je dirai aux ennemis que pour s'approprier cette cité il faudrait me tuer avant.
Peu importe que ça se termine dans une boucherie sanglante, je ne suis pas du genre à attendre ma mort à genoux.
Allez dire à ceux du futur que la cité n'était pas encore tombée.
Allez leur dire qu'il restait encore une survivante debout sur ses pieds.
Allez leur dire qu'elle n'était jamais partie.
Allez leur dire qu'elle a protégeait la cité comme elle a pu.
Allez leur dire qu'elle avait choisi sa destinée.

Oui, je sais, j'ai craqué.
Quoi ? ça apporte une petite touche dramatique.
Bon et bien à ma destinée !

Hé !? Mais… vous ne remarquez rien !? Là ! Regardez ! Vous voyez ? Comment ça «Quoi» !?
Vous perdez du temps ! fuyez pauvres fous !

PS : Pour plus de pavés et bien... repassez ! Enfin si vous voulez hein...

Je bois à la défaite de Marseille !   

 

Oui, j'aime être devant du foot avec de bonnes bières à mes côtés, porno en pause et faire ma geek en même temps.
Je ne vois pas du tout où est le problème ? Il en faut peu pour être heureux ! Oh oui, vraiment peu !
Au pire je vous emmerde tous autant que vous êtes ! na !  
Ah et je déconne pour la porno, ce n'est pas mon genre.

Bref, bière à la main et je retourne à mes occupations.
 

Bonsoir , bonne nuit ! bisous

Je viens de capter deux choses. Sacrée coïncidence. Je n'avais jamais fait gaffe avant. Sérieusement. Mais en même temps, je n'avais jamais capté non plus que dans les films : "Assassin's Creed", "Prometheus" et "Alien Covenant" que c'était le même acteur, Michael Fassbender. J'ai mis le temps à capter que c'était le même mec pour dire donc bon.

La première : c'est l'anniversaire du naufrage du Titanic. Je m'en fous pour être honnête. Ce n'est qu'un bateau et quitte à avoir une pensée pour ce drame autant penser aux victimes et principalement les plus pauvres qui ont été plus nombreuses que les riches à périr.

La deuxième : le 14 avril 2011 à 17h48 sortait le premier chapitre de "Le Départ Morwën".

Je sais que ce n'est pas la seule fiction que j'ai écrite mais j'ai la flemme de chercher les autres. Peut-être que les prochaines fois, je penserai à fêter l'anniversaire de mes autres fictions qui se trouvent dans les clubs privés il me semble et ailleurs sur le forum.

Mention spéciale à : Deimos parce que c'est de ta faute si c'est devenu une histoire alors que ce n'était pas le but.
Mais aussi à tous les "fanboys" comme je les nommais à l'époque : Skipray, Mikado, Lestat, Squall et tous ceux que j'oublie de citer. N'y voyez pas du favoritisme ceux que j'oublie.

Mention spéciale à : Acid et Magaras avec qui il y a eu des délires sur mon "départ" et une courte fiction également entre nous, je ne sais pas si vous vous souvenez. Donc une pensée à vous deux aussi.

Il n'y a plus rien à boire ici....

Ça, c'est encore de la faute à Mikado et aux autres hommes d'ici comme d'habitude.